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vendredi 2 septembre 2011

Le 17 mai 2011, être insatisfait de soi-écrivant donne du souffle : l’énergie du désespoir (de ne jamais atteindre la sérénité) ; qui emporte ; qui s’auto-alimente ; qui se cultive ; et fortifie.


Le 18 mai 2011, écrire, aller chercher sa présence ; ne pas attendre passivement.


Le 19 mai 2011, écrire sous la dictée de XXXL, sous inspiration, dénonce ceux-là qui ont placé le cou SOUS le joug, ceux qui ont choisi de subir par fatigue d’avance, ceux qui se résignent. La rêverie concentrée sur la matière verbale relève d’une volonté de découverte, ce que le langage contient de richesses, et l’avancée volontaire est elle-même puisement dans le bel inconnu. Le travail créateur pose la pensée en avant, l’inspiration dénie la pensée ( : « on me pense » ?), néantifiée. (Ces notes sont brouillonnes, mais tentent d’organiser en Tout les fragments pensifs. L’HOMME PENSIF EST UN HOMME ACTIF…)

1 commentaire:

  1. N'est-ce pas plutôt accéder par cheminement intellectuel à des micro-satisfactions d'écriture, qui propulsent l'ego - ici considéré dans un sens positif - à entreprendre l'énergie du désespoir ?

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